Au retour de notre épique aventure fluviale, nous avons rencontré les manifestants habituels du Premier Mai. Mais comme c'était la queue du défilé, nous n'avons pu voir que le "menu fretin"....
En fin de cortège, donc, défilaient toutes sortes de manifestants pour la liberté de leurs pays : les palestiniens, des gens d'un pays africain dont j'ai oublié le nom, d'un pays asiatique aussi, etc ...
on y vendait merguez et autres, c'était un peu la fête.
Ce qui m'a fait rire c'est que les éboueurs suivaient le cortège, à grands renforts de balais ....
peut-être pour gagner du temps sur leur boulot du lendemain ?
les deux marseillaises et leurs suites devaient aller voir les vallat devenus gueux mais la gueuse en chef m'a téléphoné ce matin !! il pleut à torrent sur la barben donc pas la peine d'y aller !! Dommage, moi qui avait fait cuire 14 oeufs durs !! Qu'est ce que je vais bien pouvoir en faire !!
RépondreSupprimerLa première manifestation que nous avons rencontré sur notre chemin je l'ai photographiée sans savoir qu'il s'agissait en fait d'une manif des Le Pen , Marine et JM...... je ne les ai pas vu sinon de dos l'un comme l'autre, trop entourés qu'ils étaient par des journalistes.Bof, en même temps hein ....!!!!
RépondreSupprimerC'est marrant!! Alors on peut tous défiler pour le premier mai et revendiquer tout et n'importe quoi??? Je pensais que c'était le jour des travailleurs?!!!
RépondreSupprimerL'origine de cette célébration serait liée à la fois au mouvement syndical lancé le 1er mai 1886 en faveur de l'instauration de la journée de huit heures aux États-Unis et qui culmina avec le massacre de Haymarket Square de Chicago ainsi qu'en France, à la fusillade de Fourmies de 1891 au cours de laquelle l'armée tire sur des grévistes pacifistes. Depuis lors, la Fête du Travail est déclinée dans de nombreux pays, avec des variantes et noms diverses.
RépondreSupprimerMuguet de mai : le 1er mai 1561, le roi Charles IX de France initie cette tradition : ayant reçu à cette date un brin de muguet en guise de porte-bonheur, il décida d'en offrir chaque année aux dames de la cour ; c'est au début du XXe siècle que cette tradition se confond avec celle de la Fête du Travail, supplantant alors l'églantine rouge, symbole de la Gauche.
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