Marco, enfant, était un très joli petit garçon.Visage fin, cheveux blonds, calme, gentil.
Des années après l'épisode "Serge et le pot de chambre", nous avions déjà emménagé à Diar Es Saada, j'ai déjà parlé de cet appartement à plusieurs reprises dans ce blog.
Mes parents avaient une lettre à poster et Marco insista pour la mettre lui-même à la boite aux lettres.
On la lui confia, il disparu dans l'escalier et revint quelques minutes plus tard, heureux d'avoir rendu service à la famille.
Mais ... quelle ne fut pas la surprise de mes parents, le lendemain à l'heure du facteur, de retrouver la lettre dans NOTRE boite. Marco n'avait pas compris la différence entre la boite aux lettres familiale et la boite aux lettres postale.
Bien plus tard, alors qu'il était déjà adolescent et que nous habitions Bordeaux, je l'ai entraîné dans mon sillage au RABELAIS, une boite où j'allais danser le Dimanche après-midi et quelques fois aussi le Samedi soir, mais il y avait une condition : il devait se faire coiffer par moi-même. Je lui faisais une espèce de raie au milieu que je trouvais très seyante sur son beau visage. Il m'avoua, longtemps après, que dès que j'avais le dos tourné il se coiffait à son goût !!!!!
Ah ces soeurs aînées qui se croient tout permis !!!!!!!
Cà me fait penser à "appelle l'ascenseur... ASCENSEUR!!!" Christian .... ;-)
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