jeudi 28 février 2013

A l`honneur aujourd'hui

N A T A C H A
JOYEUX ANNIVERSAIRE

samedi 23 février 2013

A l'honneur aujourd'hui

René L.
JOYEUX ANNIVERSAIRE

vendredi 22 février 2013

Bon signe ou pas ?

Depuis quelques jours nous assistons à la remontée des grues vers le nord. Serait-ce un signe de printemps ? j'en doute vu le froid qu'il fait aujourd'hui dans le nord de la France, mais allez savoir ..... la nature est devenue aussi folle que nous!!!!!!!

mercredi 20 février 2013

A l'honneur aujourd'hui

Bernard M.
JOYEUX ANNIVERSAIRE

dimanche 17 février 2013

Un peu de répit ......

Depuis presque 40 jours, il n'a fait que pleuvoir chez nous. Les fossés se sont transformés en rivière et les rivières en lacs.... mais depuis vendredi le soleil est présent et une douce brise printanière souffle sur les landes. L'eau baisse lentement. Voici Capbreton, côté jetée,  ce dimanche. Une foule enfin libérée de la pluie se retrouve sur la promenade. La plage, devenue dune à cause des vents violents et de la marée, attirait les familles, tandis que les promeneurs baguenaudent, le nez au vent léger, heureux du beau temps revenu.

C'est toujours Capbreton, côté blook-hauss. Il y a moins de monde, mais la mer argentée ravie nos yeux jusqu'alors dans la grisaille.

Au loin une quinzaine de petits bateaux dansent sur les vagues tranquilles, pas de surfeurs car les eaux sont d'un calme ...!!! Et nous deux, heureux et amoureux, profitant du soleil.
Demain sera un autre jour ...........

A l'honneur aujourd'hui

Evelyne L.N
JOYEUX ANNIVERSAIRE

jeudi 14 février 2013

et même le dîner

Un reste de la timbale de riz surmontée de quelques anchois, entourée de quelques miettes de thon albacore, d'asperges et de cornichons. Qui a fait mieux que moi ???

Petit menu pour MON Valentin


Autour d'une timbale de riz Basmati, des poivrons frits, des aubergines frites et du saumon macéré dans un mélange de citron, d'oeuf et de cacahuètes écrasées.

Mais pour faire tout ça, il m'a fallut 3 poêles et leur couvercle - une poêle pour chaque légume et une pour le saumon - un petit faitout (pour le riz), des récipients divers pour la marinade et la chapelure, sans compter différentes cuillères, et autres.... - on ne voit pas tout sur la photo !!!!
Avis du Valentin du jour : c'était très beau et très bon.

Dans ce monde qui tourne à l'envers ....

Pourquoi ne pas souhaiter une bonne journée à toutes les femmes, à tous les hommes, amoureux ou pas, en ce 14 Février.
Que l'Amour soit avec vous, l'Amour pour Tous.

mercredi 13 février 2013

Que d'eau, que d'eau ......

Les petits chemins empruntés pour ma marche hebdommdaire, sont tous inondés.. derrière ce "lac artificiel", résultat de trop nombreuses et incessantes pluies, on peut apercevoir un groupe de cigognes. Il faut zoomer bien sur .
Mais, étant donné que la température est fort clémente, mon néflier me promet de beaux fruits
Le prunier est en fleur
Et voici ma jardinière, avec ses premières jonquilles, au milieu d'un parterre de "crachat du bon Dieu" je ne connais pas le nom véritable de cette plante.




A l'honneur aujourd'hui

Pourquoi quand on se marie, les invités nous jettent des grains de riz plein la tronche ??? on dit ça porte bonheur, ah ouais ? pourquoi pas ? et si on jetait des sardines ça porterait bonheur aussi ? En tout cas ce jour là, Danièle aurait pu faire une paella avec tout ça !!!!!!!
Danièle M.
JOYEUX ANNIVERSAIRE

mardi 12 février 2013

A l'honneur aujourd'hui

Serge F.
JOYEUX ANNIVERSAIRE

mercredi 6 février 2013

Florilège d'une insomniaque - Episode 3 : moi-même

Danièle me faisait remarquer dans les commentaires de l'épisode 1, que je devais parler du serpent !
Ah oui, ce serpent.......
C'était je crois en 1956. J'étais allé passer quelques jours chez ma tante , Marie en compagnie de mes cousines : Lydia et Danièle et de leur maman, ma tante Thérèse. 
La maison de Tata Marie se situait à Beau Fraisier, sur les hauteurs d'Alger. Je me souviens qu'on y voyait passer le Général Bigeart et ses troupes, en patrouille et en  jeeps bruyantes. Les "évènements" d'Algérie avaient apporté une insécurité dans ce pays merveilleux qu'est l'Algérie, divisant une population qui s'entendait si bien avant ... mais ça c'est la politique ...!!!!! Bref le serpent disais-je.
Et donc, dans cette petite maison, pas loin d'une forêt d'eucalyptus, avec une grande terrasse ombragée d'une tonnelle de vigne, aux grappes lourdes et sucrées, nous coulions quelques jours heureux. Le matin, avec Lydia, nous nous battions pour aller chercher les oeufs au poulailler. C'est là aussi, qu'un beau jour, alors que nous jouions dans le vaste jardin, que nous aperçûmes Lydia et moi un énorme papillon noir et blanc. Nous sommes restées elle et moi, bouche bée. Je n'en ai jamais revu d'aussi grand, d'aussi beau. On arrachait les ailes des sauterelles, que nous conservions dans des boites d'allumettes vides et à la fin de la journée, nous les comptions. Il y en avait des bleues, des roses et des jaunes. 
Le soir, nous nous endormions, fatiguées, moi dans un lit et mes cousines dans un autre. Nous étions réveillées, par ma Tante Thérèse, qui nous apportait le café au lait. 
Un matin, alors que je dormais profondément (j'étais jeune !!!) j'entends ma tante me hurler dessus :
 - Lyly, Lyly, un serpent, vite lève toi. 
De fait un serpent, venu de je ne sais où, se dirigeait vers moi en ondulations menaçantes.
La peur donne des ailes dit-on, et bien je puis vous assurer que c'est absolument vrai, car de voir cette "chose" m'a fait faire un bond extraordinaire d'un lit à l'autre, soit peut-être 2m50, enfin je crois. J'ai volé de peur et j'ai un témoin : Danièle. 
Plus tard, une autre sorte de peur, m'a donné des nageoires : je m'étais laissé prendre par la marée, l'eau montait rapidement, trop rapidement, je sentais que je n'avais plus pied et j'ai nagé, nagé ..... je n'étais pas seule : Gisèle, encore petite, sur les épaules de Pierre Sasso, Serge et Marco s'essoufflant à mes côtés. Ce jour là, nous avions la baraka.

Florilège d'une insomniaque - Episode 2 : Marco

Marco, enfant, était un très joli petit garçon.Visage fin, cheveux blonds, calme, gentil.
Des années après l'épisode "Serge et le pot de chambre", nous avions déjà emménagé à Diar Es Saada, j'ai déjà parlé de cet appartement à plusieurs reprises dans ce blog.
Mes parents avaient une lettre à poster et Marco insista pour la mettre lui-même à la boite aux lettres.
On la lui confia, il disparu dans l'escalier et revint quelques minutes plus tard, heureux d'avoir rendu service à la famille.
Mais ... quelle ne fut pas la surprise de mes parents, le lendemain à l'heure du facteur, de retrouver la lettre dans NOTRE boite. Marco n'avait pas compris la différence entre la boite aux lettres familiale et la boite aux lettres postale.
Bien plus tard, alors qu'il était déjà adolescent et que nous habitions Bordeaux, je l'ai entraîné dans mon sillage au RABELAIS, une boite où j'allais danser le Dimanche après-midi et quelques fois aussi le Samedi soir, mais il y avait une condition : il devait se faire coiffer par moi-même. Je lui faisais une espèce de raie au milieu que je trouvais très seyante sur son beau visage. Il m'avoua, longtemps après, que dès que j'avais le dos tourné il se coiffait à son goût !!!!!
Ah ces soeurs aînées qui se croient tout permis !!!!!!!

Castagnettes et Flamenco

Cours de Flamenco .... à St Vincent de Tyrosse, pour Indira, qui bouge très bien et qui s'éclate à faire tourner sa jupe ample et volantée, tandis qu'au dehors la grêle et le vent l'accompagnaient, elle et ses petites camarades.

lundi 4 février 2013

Florilège d'une insomniaque - Episode 1 : Serge

L'âge aidant, je dors de moins en moins. Durant ces longues heures d'insomnie, les souvenirs affluent, en désordre : situations comiques, inattendues, parfois tragiques.
Pour débuter ce petit florilège, voici l'histoire de :
Serge et le pot de chambre
Au début des années 50, nous habitions une mansarde au 4ème étage d'un immeuble à Bab-El-Oued, rue de Normandie. L'immeuble donnait sur une petite place dotée d'une fontaine elle-même ornée d'un écusson représentant un illustre personnage français dont le nom m'a échappé; en tout cas c'était un barbu !!
Tous les enfants du quartier se retrouvaient à la "basseta" (c'est ainsi qu'était surnommé ce mini square par les habitants du quartier). Mais revenons à Serge.
Un soir, nous devions être à table et mon frère demanda la permission d'en sortir pour satisfaire un "gros" besoin naturel. Les toilettes étant situées à l'étage en-dessous et vu l'heure tardive, Maman  lui proposa de prendre le pot et de faire "ça" sur le palier près de la terrasse.
Le temps passe, et,  le repas terminé, j'aidais Maman à débarrasser le couvert, laver la vaisselle, pendant que Papa, poussait la table contre la fenêtre afin de déplier le lit dans lequel nous nous retrouverions Serge et moi pour y passer la nuit, Marc et Gisèle partageant eux mêmes un autre lit plus petit, proche du lit de mes parents.
Soudain des cris retentissent dans le couloir: ce sont ceux de la voisine, Mekia, qui se fait battre par son mari Messaoud. A la maison on a l'habitude, il ne se passe pas une semaine sans que ces deux là s'entretuent ! Mais ce soir il y a un spectateur, installé comme au théâtre, non pas dans une "baignoire" mais sur son magnifique pot de faïence blanche : Serge, qui lui aussi se met à brailler car les coups pleuvent sur le dos de la pauvre femme et le garçon a bien peur d'un coup perdu ...!!!!
Serge et Papa se croise à la porte, l'un entrant, l'autre sortant.
Celui qui entre a le "pot collé au cucu", il y a sûrement eu "effet ventouse" vu le temps qu'il a passé dessus....,
Celui qui sort, s'interpose une fois de plus, entre les belligérants, raisonnant Messaoud qui laisse partir sa femme dans les bras de Maman. Le calme revient à l'étage, jusqu'à la très prochaine fois.

Qui a le popo d'caca collé au cucu ! qui a le ........!!!!!

Bientôt, c'est de Marco qu'il me reviendra une anecdote.