Marcher à la fraîche !!!!

C'est du pont de la Marquèze que nous décidons, Michèle L. et moi, de nous mettre en route. Il est à peine 8h. Le soleil est déjà haut, nous sommes à l'ombre grâce aux hautes futaies qui bordent l'Adour.  

Les roumbaleurs attendent qu'on vienne les chercher

A Saubusse, un lavoir original, perdu dans la forêt

Les lavendières du XIX siècle s'introduisaient dans le trou, jusqu'aux genoux, et se penchaient sur la "planche" pour faire leur travail. Elles avaient ainsi les pieds au sec. Tous les lavoirs se trouvent toujours, en tout cas très souvent, éloignés du village. Il faut s'imaginer ces femmes transportant des ballots de linge, sur la tête ou dans des espèces de charriots, descendant/remontant jusqu'au lavoir ...... Grâce à mon âge avancé (!) j'ai connu ça à Parcent : le lavoir se trouve dans le bas du village, assez éloigné..., quant il fallait remonter avec le ballot de linge mais c'était un autre temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître ...........