mercredi 26 octobre 2016

Les affaires reprennent à Calpe

Pour preuve, cette photo que j'ai prise ce matin, sur le paséo.
Les propriétaires ont eu beau écrire en toutes lettres leur désaccord concernant la construction de cette nouvelle tour, rien ne fera reculer les promoteurs...
Cet édifice va diviser de moitié le prix de vente de ces appartements, qui jusqu'à maintenant, avaient une vue imprenable sur le paseo et la mer.




Ainsi va la vie 



dimanche 23 octobre 2016

Panorama depuis le Peñon

J'ai enfin pu chargé l'application panorama sur mon téléphone portable, voilà ce que ça donne :


                                                           
                                                   Las Salinas
La playa Arenal-Bol                                                                              La playa Fossa-Levante  
El puerto       

Je voulais vérifier par moi-même

 Diverses améliorations ont été apportées au sentier menant au sommet du Peñon. 
 Dès la sortie du tunnel, un petit muret a été construit, le sentier a été élargi, les vieilles cordes usées n'ont plus lieu d'être. Plus loin elles ont été remplacées par de solides chaines.

Nous ne sommes pas monté jusqu'au sommet, partis trop tard, trop chaud .... mais ce sera pour l'année prochaine d'autant que Fabienne a promis de participer à l'aventure.....

jeudi 20 octobre 2016

Simple et sympathique ...

le déjeuner chez Daniel et J.Luc. veille de départ de Michèle pour Bordeaux.

50 nuances de......

 Aujourd'hui journée pluvieuse, orageuse sur Calpe. 
Le Penon, en colère, se transforme en volcan, il crache une fumée blanche ....
à moins qu'une horde de Peaux Rouges se soit réfugiée sur son sommet pour invoquer le Dieu de la pluie, dans ce cas c'est réussi...il a plut toute la journée!
 Il s'embrase au coucher du soleil, il est calmé et fait naître autour de lui un bel arc-en-ciel
En face de Sa Majesté, Toix s'embrase, comme la Méditerranée où se reflète le ciel tourmenté. 

lundi 17 octobre 2016

Sur les traces de Dragut 2016

Lundi 17, c'est le jour choisi pour "se faire" la Olta.
Rendez-vous est pris au parking de la résidence de Jean Louis, huit heures petantes.
Fatma n'est pas là, Gil, son mari, nous dit qu'elle a un petit souci et préfère ne pas se risquer dans l'aventure.
C'est donc à quatre : Bernard, Gil, Jean Louis et moi-même, que nous prenons la direction de la "Zona de Acampada" (camping). Nous laissons la voiture et prenons le sentier qui nous mènera à la cime de la Olta, culminant à 587m (le penon 332m), il est 8h20.
 Première étape la Ermita Vella , pour y arriver, sentier relativement facile.
Dragut a t-il fait une halte ici lui aussi ?
 Première vraie difficulté, le dénivelé est important, les mollets en savent quelque chose.
Dragut a t-il aidé quelqu'un comme le fait Jean Louis à mon égard ?   
 Pause photo. Il reste encore du chemin .... Dragut est passé par là
 Quelle vue ... même sans jumelles. Dragut a t-il apprécié  ...? 
 Le penon au loin, nous sommes sur la cime de la Olta. Il nous a fallut 2h pour y arriver... dans la caillasse. Je suis tombée le nez dans un buisson ... mais dommage, pas le réflexe de prendre une photo !!!!!  Et Dragut nous a précédé.

La cime atteinte, il nous faut poser pour l'éternité ....Jean Louis a gravé nos quatre prénoms. 
Dragut aussi. 
 Nous entamons la descente, en faisant le tour complet de la Olta.
Nul doute que Dragut en fait autant ...!!! 
Cette pause là, nous l'avons bien méritée... Au final nous avons crapahuté pendant 4 h 1/2...
Tout les quatre nous étions heureux de notre aventure montagnarde. 
Rentrés à 13h chacun chez soi ... mais de retour à la plage détendre nos muscles dans une mer à 24 degrés.  Dragut était-il lui aussi à se dorer la pilule sur le sable chaud de Calpe, après sa descente ??? 
Nous ne le saurons jamais .... On ne l'a jamais vu, seulement son nom gravé sur chaque poteau de la Olta.... Il nous a accompagné dans notre virée. Sacré Dragut. 

mercredi 12 octobre 2016

Florilèges de nos dernières sorties

Samedi, avec Fatma et Gilles.
Après le marché de Jalon, un tour à Parcent sur les traces de notre famille et la sacro sainte photo au lavoir..
Puis playa ...

Dimanche, le temps nous parait incertain et, encore avec Fatma et Gilles, nous leur proposons la découverte de Altéa, la vieille ville. Ce fut un agréable après midi.

**********
 Et ce matin, dès 8h30, nous prenons le sentier qui depuis Calpe nous mène pratiquement à Moreira. 
Nous voici tous les 5 au début du parcours. Derrière nous le Penon.
 En milieu de trajet, la descente est ardue .....attention aux chevilles, aux genoux ....
Après cet intermède kafkaien, une petite pause pour nous remettre de ces difficultés. 
Dernière photo de la matinée, nous sommes sur le retour vers Calpe. 
Et cet après midi, c'est à la plage que nous prenons un peu de repos, avant "l'ascension" de la Olta, la semaine prochaine. 



lundi 10 octobre 2016

C'est la mer ......

sur l'air de "c'est la ouate"
***
De toutes les matières
C'est la mer qu'ils préfèrent
posés sur leur récif
amoureux et pensifs
c'est la mer

La Course

Il piaffe, il s'agite le Nicolas, il est pressé :
- Bon, moi je suis là et j'attends ...!!
- Tout doux Nicolas, ils vont arriver.
Et de fait, la blonde arrive, salut les journalistes, salut la foule massée sur la ligne de départ. Elle adresse à Nicolas son plus beau sourire carnassier :
- Il ne me fait pas peur le nabot, pense t-elle en prenant possession de son couloir, le quatrième à droite. .
- Je vais la démonter, cette pouffiasse, pense à son tour Nicolas, qui lui rend son sourire, la bouche en biais.
Le troisième personnage arrive, d'un pas très décidé.
- Ah, bien ils sont déjà là ceux là. On verra ce que l'on verra.
Alain s'installe lui aussi, à l'aise, dans son couloir, le second tout près de Nicolas, qui pense :
- Ah, voilà l'autre, le vieux, il ne fait pas le poids.
Son tic nerveux lui reprend, il bouge ses épaules, et ricane. Il s'impatiente, où est le quatrième candidat ??
- Nicolas, calme toi voyons, tiens prends un verre d'eau; on attend François.
- François, quel François, tu connais un François toi, y'a pas de François.
- Mais enfin, Nicolas, tu sais bien ..
- Pfff, je plaisante, je sais très bien qui est François, justement , il arrive le gars, pépère, tranquille, pas du tout pressé.. Tu crois qu'il y voit bien avec ses paupières tombantes ? Il a pris du poids non ? va pas pouvoir courir porcinet.....pffff
François, l'homme sur qui tout glisse, se place sans un regard aux autres, dans son couloir.
- Tout va bien, je suis en pleine forme et je vais gagner, c'est sur, se dit le François.
Tous sont dans les starting-block ; le départ est donné, le public applaudit, les journalistes mitraillent les belligérants .
Nicolas et Marine réagissent très vite et ont déjà deux enjambées d'avance sur les autres. Alain les suit coudes au corps; François se penche en avant, tête baissée, regarde ses baskets tous neufs et se décide enfin à courir.
Un drone suit les candidats.
Nicolas et Marine se détachent, quand soudainement, Alain passe devant eux, et peu à peu creuse l'écart.
Décontenancés, Marine et Nicolas allongent leurs foulées, sans pouvoir revenir au niveau d'Alain, le vieux.
Quant à François, il ne s'inquiète pas du tout de l'avance des trois autres. Ses lunettes se sont embuées, il court à droite, il court à gauche, dans son couloir.
- Tout va bien, je les ai en ligne de mire, ils ne m'échapperont pas.
Alain se trouve maintenant devant son épreuve : franchir en 5 minutes une large étendue d'eau presque noire, à forte odeur. Le gué se présente : une succession de pierres plus ou moins grosses, plus ou moins glissantes, plus ou moins éloignées l'une de l'autre. Cette odeur, c'est du sirop d'érable qui lui rappelle son séjour "forcé" au Québec, sa traversée du désert.
Il pose son pied sur la première pierre au moment même où Nicolas, lui aussi, se retrouve devant son défi : 50 casseroles éparpillées sur son couloir. Il doit en 5 minutes, faire 10 piles de casseroles, de la plus grande à la plus petite.
- La vache !!! dit-il à haute voix et sans plus attendre entame le tri des ustensiles.
Marine arrive elle aussi face à son épreuve : un tableau noir, sur lequel sont collées différentes photos de personnages, blacks, blancs, beurs; elle doit en 5 minutes, donner leur nationalité, leur degré de popularité et les qualités qui les caractérisent.
- Mince, je n'en connais aucun, qui sont ces sbires ?
Les trois premiers sont à pied d'oeuvre depuis déjà 3 minutes quant arrive François, en sueur, l'air d'en manquer justement.....
Il s'arrête, il se plie en deux, respire fort et enfin se décide à prendre connaissance de ce qui l'attend :
un grand espace de paintball. Les tireurs sont embusqués, prêts à faire "feu". Il y a là, des chômeurs, des retraités, des ouvriers de diverses usines, fermées ou en passe de l'être, d'anciens ministres de son gouvernement, des ex compagnes, des policiers, des gardiens de prison, des profs et des instituteurs, quelques fonctionnaires aussi. Près de là un scooter, il doit  le faire démarrer le plus tôt possible, mais pour cela il devra trouver la bonne clé parmi la cinquantaine au sol, il a 5 minutes, et ce pendant les tirs.
Le temps passe, le drone au dessus d'eux tourne en rond. A bord une camera  filme la scène.
Les quatre sont assidus à leur tâche, à part eux et le drone, personne aux alentours. Le public a été interdit, pas de caméra au sol, rien, ils sont dans un désert.
Et pour une raison que l'on ignore encore, le drone s'écrase au sol, à 1 mètre de Marine qui hurle qu'on a voulu l'assassiner.
François n'a rien vu, rien entendu. Il n'a jamais trouvé la bonne clé et se retrouve peint de la tête aux pieds.
Nicolas, est épuisé, son tic s'est accentué, ses épaules n'en finissent pas de descendre et monter.
Quant à Alain, il s'est englué dans le sirop d'érable et appel au secours.
Pendant ce temps, les français n'en peuvent plus et voudraient bien qu'on en finisse....mais c'est une autre histoire.


jeudi 6 octobre 2016

Juevès es paella en la tercera edad

Y despues , café y crema catalane en la casa mia .
Bernard a rejoint son ami Jean Louis à la plage où ça ne se bousculait pas beaucoup à cause du vent. 
Un peu plus tard, Gilles les a rejoint....


Enfin Calpe .......

Cette année Fatma et Gils nous ont suivi à Calpe et, comme à chaque fois, nous emmenons les "nouveaux amoureux de Calpe", faire la balade du Burumbot, descendre au foyer social de Bofil, en ruine, mais avec un peu d'imagination on peut se rendre compte comme cet endroit devait être agréable dans les années 80. 

Profitant de la gratuité, trois belles s efont des gommages à tire larigot 

Après ça nul doute qu'elles auront la peau douce.....
En ce mois d'octobre, c'est surprenant la chaleur qu'il fait. Tout aussi surprenant, le nombre de personnes sur la plage, dans les bars et les restaurants. Les commerçants s'accordent à dire que c'est vraiment exceptionnel.....